Bilan de santé [Mili]

Elle le regardait sortir son necessaire pour observer la jeune femme. Interieurement, elle prit une grande respiration, tandis que son coeur avait fait un bon, elle detestait ce genre de chose, d'avantage quand il avait un emprise total sur elle, du moins, il était disposé à avoir un total pouvoir sur elle.

Je vois que vous vous y connaissez, côté délicatesse, monsieur,

Elle gardait toujours son sourir bien sarcastique alors que ses yeux le foudroyaient chaque fois qu'il pesait sur son fameux truck qui lui serrait réellement le bras. Elle ne le lâchait pas du regard, pas même une seule fois.

J'ai un bleu, quelque part, sur mon corps..., si vous voulez bien, j'aimerais vous le montrer ensuite...,

Elle avait donc un bon coeur ? Humm, elle n'en était pas si sur, elle ne croyait même plus en avoir un, un machine qui pompe le sang serait un terme mieux pour designer ce qu'elle avait sous la poitrine. Bref, elle garda son sourir enfantin sur le visage, alors qu'il lui demanda de lui montrer la marque qu'elle disait avoir sur le corps.

Je n'aie pas besoin de me lever...,

Elle se recula quelque peu sur son lit et écarta les jambes, elle designa, avec l'un de ses doigts, une marque bleu foncer dans le creux de sa cuisse, elle lui laissait voir en même temps une petite culotte de dentelle noir.

Ça fait très mal, vous savez..., les gardiens ne font pas toujours attention lorsqu'ils nous visitent l'intérieur.., ça laisse des marques, tellement douloureuse..., dit-elle sur un ton faussement triste, avec son regard d'enfant cette fois.

Dégoûter ? Oui, c'était définitivement le bon terme à utiliser dans un instant comme celui-ci, mais avoir à choisir entre obtenir d'autre marque parce qu'elle aurait résister et jouer la comédie, Millicent aimait mieux opter pour jouer la carte de l'innocence. Quand il entâma ses caresses, elle ferma les yeux, il était bien dur de ne pas lui ficher un coup et de partir en courant.

La belle blonde ouvrit doucement sa bouche pour laisser un soupir bien calculer vagabonder contre ses lèvres, alors que l'une de ses mains agrippait les draps du lit.

Vos lèvres sont douces...,

En plus, sa main était froide, des frissons la parcourait, rien d'agréable a ressentir puisqu'elle s'entêtait à ne rien ressentir, elle préférait opter pour la simulation, bien qu'elle n'était pas de glace.

Rare devaient être les fois où il se payait une femme totalement lucide, bien qu'elle commençait à se demander si elle l'était réellement. Bien malgré elle, une certaine chaleur impregnait le bas de son ventre, elle ne le désirait pas, mais c'était comme ça, il était doux et ça titillait ses sens. Après tout, Millicent n'avait pas à se pleindre tant qu'il ne lui faisait pas de mal, même s'il la dégoutait.

Ce fut un véritable soupir, cette fois, qui perça l'entre de ses lèvres.

On devrait peut-être arrêter, maintenant.., dit-elle afin de voir la réaction du médecin qui continuait d'explorer son corps.

Elle craignait une mauvaise réaction, mais elle s'y attendait, peu importe la façon dont il allait réagir aux mots qu'elle venait de prononcer dans le but de provoquer.

Quand son regard haineux traversa son regard doux et enfantin, un sourir fit apparition sur ses lèvres d'un beau rosé. C'était le genre de réaction qu'elle esperait, enfin un peu de haine à travers une sensible douceur que ses lèvres lui avait donner. Sa main continuait d'explorer son corps lorsqu'elle prit celle-ci, elle la fit descendre jusqu'au rebord de sa nuisette et la fit pénétrer l'intérieur de son tissus pour ensuite monter doucement vers sa poitrine totalement nue.

Parce que je suis persuadé que ça peu être interessant parfois d'enfiler autre chose qu'une femme qui crit sans cesse...,

Elle se redressa en le regardant directement dans les yeux.

Je vous déteste et vous me detester alors..., je me laisse faire et j'obtiens un peu de paix pour les 3 jours qui suivent,

D'accord, elle n'était pas en position de discuter ni de demander quoi que ce soit, mais elle osait quand même..

Il n'aimait pas la facilité alors qu'elle, elle ne désirait pas jouer les femmes en détresse, elle ne voulait pas passer le reste des prochaines journées à guerrir de ses blessures parce qu'elle aurait osée dire non. Ils seraient quitte, ainsi, chacun aurait son compte, bien qu'il trouvait banal de tout avoir facilement et qu'elle, elle ne désirait pas réellement coucher avec lui.

Assis sur le bord du lit, alors qu'il se penchait à nouveau vers son visage, elle lui souriait d'une manière bien à elle.

- Je vous avertis..., je pourrais mordre, glissa-t-elle à son oreille alors que ses lèvres passaient contre la peau chaude de son cou.

S'il s'avisait de lui faire du mal, il aurait le droit à une période gratuite de débat où elle se donnerait corps et âme pour ne plus qu'il la touche, mais si au contraire il essayait, réellement, de ne pas trop lui faire de mal alors qu'elle jouerait à la gentille poupée de porcelaine, les choses ne s'en porteraient pas trop mal.

Au bord d'une folie certaine, encrer dans son rôle, ne possèdant pas toute sa tête, elle retira sa nuisette qu'elle lança au sol, il avait donc devant lui, le haut de son corps chaud totalement dénudé.

Ça pourrait..., soupira-t-elle alors que les lèvres de l'homme se baladait sur sa poitrine.

Tandis qu'il venait d'enlever sa blouse blanche, elle passa ses mains sur le haut de son corps et se chargeait de dénuder son torse complètement. Un torse qu'elle se mit à caresser du bout des doigts et au fur et à mesure qu'il l'allongeait sur les couvertures, ses caresses se dirigeait vers son dos, au creux de ses reins.

Vous savez..., vous me donnez véritablement envie..,

Elle avait glissé ce murmure à son oreille, alors qu'il baisait son cou. Ses yeux se voilait d'une fine couche de brume, un envie qui naissait en elle, bien malgré le fait qu'elle agissait de la sorte pour se sauver, elle préfèrait se laisser aller que d'avoir à paraître dégouter de lui pendant l'acte auquel ils se livraient. L'une de ses mains vint se faufiller entre leur corps, afin d'atteindre la ceinture du médecin qu'elle défit et les boutons de son pantalon ressentirent le même suplisse..

C'est curieux, elle avait cette folle envie de profiter de la situation. Étant au-dessus, elle était en mesure de lui faire regretter sa décision, de pouvoir lui faire regretter d'avoir oser penser la mettre sur le dessus, mais les conséquences à cet acte ne l'enchantait pas. Maintenant totalement dénudée, Millicent embrassait le corps chaud de Chase, ses lèvres vagabondaient sur son cou, descendaient sur sa clavicule. Sa langue accompagnait parfois ses baisés, ainsi que ses dents qui mordillaient à l'occasion sa peau..., son torse et puis bientôt son ventre. C'est doucement qu'elle lui retira son pantalon. Il trouva le chemin du sol, comme les autres vêtements d'ailleurs. Ses yeux d'un bleu ciel plongeaient dans le regard de Chase, tandis que ses lèvres avaient retrouver le chemin de son ventre et remontait jusqu'à la bouche de se dernier, qu'elle n'embrassait pas..., mais elle la frôlait sensuellement. Ses mains, elles, c'étaient posées contre le membre, enfermer dans le boxer du médecin et se mit à caresser delicatement celui-ci.

Je pourrais te faire regretter ta décision...tu sais, murmura-t-elle en laissant son souffle chaud parcourir la clavicule du docteur.